Plaisirs Au Cap D’Agde

Cette histoire se déroule au cours d’un été voila quelques années. J’ai 20 ans au moment des faits. Mathias, un ami de la fac et moi sommes partis pour quelques jours au cap d’Agde. Objectif, drague bronzette et bain de mer. C’est l’époque bénie ou on ose tout sans se poser aucune question. Mon ami et moi ne manquons pas de tchatche comme on dit dans le sud pour aborder la gente féminine.
Les premiers jours au cap s’avèrent pourtant un échec en terme de résultats pour ce qui est des filles. Ce n’est pas faute d’avoir abordé, d’abord deux jolies scandinaves sur la plage qui ne parlaient pas français. Notre niveau d’anglais ne nous a pas permis d’aller plus loin, ensuite des lycéennes en vacances qui ne semblaient guère intéressées.
Au troisième jour de notre périple, nous ne décourageons pas et nous rendons dans une fête foraine pour passer un bon moment et pourquoi pas croiser des demoiselles avec qui sympathiser. L’endroit ne manque effectivement pas de jolies filles soit accompagnées soit trop occupées sur les attractions ou manèges pour être sensibles à nos tentatives d’approche. La soirée promet d’être un nouveau fiasco mais alors que nous sommes sur le point de partir, mon attention est captée par le stand de tir au pistolet à eau ou batifolent deux jolies femmes d’approximativement la quarantaine apparemment seules. Je fais signe à Mathias qui ne semble pas intéressé.
«Laisse tomber mec c’est deux mamans, leurs familles doivent pas être loin»
J’insiste malgré tout pour tenter notre chance, la première est une jolie blonde bien roulée, hanches larges et un beau derrière bien rebondi, la seconde est une brune ronde aux formes bien réparties , de longs cheveux ondulés qui entourent un visage de femme mature, une gros cul bien dodu comme je les aime et par dessus tout une grosse paire de seins qui déforme son t-shirt. N’ayant rien à perdre, je m’approche du stand et me munit aussi d’un pistolet pour tenter ma chance, au jeu et aussi d’entamer la conversation.

Mathias voyant mon intérêt me rejoint. La conversation s’engage, nous payons un tour au filles. En visant juste, je parviens à gagner une grosse peluche que je décide d’offrir à la brune aux gros nichons qui m’a littéralement tapé dans l’œil. Les deux amies semblent abordables et jouent un moment avec nous. Nous nous éloignons ensuite un peu du stand et faisons plus ample connaissance, ces dames sont bien seules, en vacances pour quelques jours dans un gîte qu’elles ont loué. La brune sur qui j’ai jeté mon dévolu se prénomme Sylvie et son amie que Mathias commence à convoiter s’appelle Cécile. Elles ont approximativement entre 35 et 40 ans et travaillent toutes les deux dans un hôpital de la région montpelliéraine, l’une comme aide-soignante et l’autre comme secrétaire. Lorsque Mathias demande comment se fait-il que de si jolies filles ne soient pas accompagnées, nous n’aurons comme toute réponse qu’un rire long de sous-entendu. Elles ne se sont pas dupes et voient bien notre petit numéro de drague mais ne nous remballent pas pour autant. Nous rions bien, les filles prennent confiance, nous parvenons fastidieusement à les inviter à nous rejoindre le soir dans un bar du port non loin du bord de mer pour boire un verre.
Euphoriques comme des s à l’idée de retrouver nos deux quadra, nous nous faisons beaux dans notre hôtel, impatients de les retrouver. Le fait d’avoir rencard avec des femmes de 20 ans nos aînées qui pourraient être nos mères nous rend d’autant plus enthousiastes et ce n’est pas sans un certain trac que nous rejoignons le bar ou nous avons rendez-vous. Lorsque nous arrivons, les filles sont déjà devant l’entrée. Elles se sont également faites belles pour nous retrouver, Cécile porte un chemisier avec un jupe assez courte et des talons hauts. Sylvie est resplendissante dans une légère robe de soirée noire aux épaules nues. Le bas arrive bien au-dessus du genou et le haut offre un profond décolleté sur son impressionnante poitrine. En un mot, elles sont bandantes.
A ce moment là, Mathias et moi sommes conscients que tout est possible mais sommes toutefois loin de nous douter de la tournure que va prendre la soirée.
Nous trinquons autour d’un rhum, Mathias est assis à côté de Cécile, son bras posé sur le haut de la banquette au dessus des épaules de sa conquête, Je suis assis à côté de Sylvie et ne la quitte pas du regard. J’essaie de ne pas regarder dans son décolleté mais mon regard est comme aspiré par ses énormes seins. Je lui glisse quelques compliments discrets comme «Tu as de très jolis yeux». Mes approches de jeune charmeur pour le moins audacieux l’amusent, les filles se prêtent au jeu.
Après un troisième verre de rhum, les têtes commencent à tourner et les filles se lâchent, les premières allusions au sexe arrivent, elles rient à gorge déployée. Je pose ma main sur la cuisse de Sylvie et Mathias caresse l’épaule de Cécile en lui parlant au creux de l’oreille. Le patron du bar nous donne deux bons d’entrée gratuite pour une boite située à quelques pas. L’occasion idéale d’inviter ces dames à boire un dernier verre. Elles acceptent de nous suivre, cette affaire commence à sentir bon.
Dans la boite, la chaleur est étouffante, j’invite Sylvie à une samba pour le moins collée serré, ma main descend le long de son dos, jusqu’au haut de ses fesses, à travers sa robe, je devine qu’elle porte un string et mon excitation grimpe. Elle remonte ma main jusqu’à ses hanches en disant «Doucement jeune homme, tu descends un peu trop bas» mais au fur et à mesure qu’on danse, nos corps se collent de plus en plus. Collé dans son dos, je tire de plus en plus sur sa robe au point d’élargir son décolleté jusqu’à offrir une vue pour le moins indécente sur une large partie de ses gros seins. Je ne sais pas si elle s’en aperçoit mais si c’est le cas, il est clair qu’elle cherche à m’allumer et je joue le jeu en me collant le plus possible. Mes mains montent jusque sous sa lourde poitrine. Elle ne me repousse même plus lorsque je pose mes mains sur ses seins en dansant et me dit simplement à l’oreille «On va aller s’asseoir, on sera plus tranquilles».

On commande des vodka et nous asseyons autour d’une table avec banquettes dans un coin un peu isolé de la boite, dans une quasi obscurité. Les affaires de Mathias se passent plutôt bien également car il embrasse Cécile à pleine bouche, quant à moi j’honore Sylvie de petits baisers dans le cou. Elle semble apprécier et ne repousse pas ma main sur son sein. A travers le tissu, je sens son téton durcir au contact de mes doigts. L’ambiance se réchauffe encore un peu plus lorsque le boss de la boite nous sert les vodka, visiblement charmé par les attributs mammaires de Sylvie dont le décolleté descend maintenant jusqu’à la naissance de ses aréoles. Il lorgne son opulente poitrine largement dénudée avec un sourire pervers et nous dit «ahah et ben bonne soirée msieurs dames» Sylvie réalise que son haut descend un peu trop et se réajuste en riant.
Les verres de vodka se vident, Mathias n’arrête pas d’embrasser Cécile, et je fais de même avec Sylvie. Nos langues s’emmêlent et elle ne repousse pas ma main qui monte le long de sa cuisse. Elle écarte légèrement les jambes pour me faciliter l’accès à son intimité. Elle esquisse un sursaut lorsque mon doigt atteint sa fente au travers de son string mais au lieu de me repousser, elle écarte largement les jambes. Je glisse ma main dans son string tout en l’embrassant goulûment. Je constate que Sylvie est épilée intégralement, ce qui n’est pas pour me déplaire, sa chatte et ses lèvres sont toutes douces, je glisse un doigt dans sa fente imberbe et ma quadra commence à être trempée.
«Il y a trop de monde dans cette boite, ça vous dirait de prendre un bain? Il y a un jacuzzi dans note gîte» propose Sylvie. Naturellement, la réponse ne fut pas négative et Mathias appelle un taxi. En quittant la boîte, le patron nous sourit en disant «bonne soirée hein» long de sous-entendu impressionné de voir deux jeunes veinards emballer des nanas de 20 ans de plus.
Les choses ne se calment pas sur le trajet retour à l’arrière du taxi, Mathias a remonté la jupe de Cécile et lui lèche la chatte, quant à moi j’ai sorti un sein du soutien-gorge de Sylvie et le dévore comme un bébé affamé qui a besoin de sa tétée.
Le chauffeur a les yeux qui lui sortent des orbites en regardant dans son rétroviseur.
Nous arrivons au gîte, les filles nous proposent de trinquer à nouveau au whisky cette fois. Nous sommes tous bien ivres et l’ambiance arrive à son paroxysme. Cécile met en musique de fond une sorte de compilation de slows. Les filles dansent d’une manière très sensuelle sous nos encouragements et commencent même à se déshabiller pour nous offrir un strip-tease. Plus aucun doute, nos deux quadra sont des chaudes en puissance.
Au rythme de la musique, les vêtements tombent au sol et les deux amies se retrouvent en string et soutien-gorge au milieu de la pièce en bougeant leurs culs comme pour nous exciter encore plus. Je bande comme un taureau alors que Sylvie se déhanche devant moi en remuant son gros cul à peine couvert d’un string ficelle. Tout en secouant son derrière joufflu face à mon visage, elle dégrafe son soutien gorge et laisse doucement apparaître ses deux obus.
Ils sont encore plus gros que ce que j’imaginais, deux belles mamelles légèrement tombantes aux larges aréoles épaisses comme des disques ornés de mamelons bruns épais comme des noisettes. Ceux de Cécile sont moins gros mais assez volumineux quand même et bien appétissants. Sylvie collée à Cécile, lui baisse son string et dévoile la chatte de son amie, aux poils courts taillées en V. Cécile fait de même avec sa partenaire et laisse apparaître la chatte intégralement épilée de Sylvie. Ces deux cochonnes se déhanchent comme des danseuses salaces de cabaret à pute et se penchent en avant pour nous présenter leur intimité telles deux chiennes prêtes à se faire saillir. Elles plongent ensuite dans le jacuzzi bouillonnant et nous invitent à les rejoindre.
Face à une telle invitation, nous n’allons pas faire attendre ses dames plus longtemps.
Mathias et moi nous déshabillons rapidement et rejoignons ces dames dans l’eau chaude du petit bassin à bulles. Je me jette tel un affamé sur Sylvie et lui dévore les nichons, je les suce, les lèche, les malaxe pour son plus grand plaisir pendant que Mathias fouille la chatte de Cécile en léchant son clito sous les encouragements de sa partenaire assise les jambes écartées au bord du jacuzzi.
Alors que je dévore à pleine bouche les mamelles de Sylvie, je sens sa main saisir ma queue sous l’eau bouillonnante. «Oh mon dieu mais c’est qu’il est bien membré le jeunot» dit-elle elle en caressant ma queue.
En face de nous, Mathias a laissé sa place dans l’eau à Cécile qui lui taille un pipe particulièrement cochonne. Nos deux quadra n’ont décidément pas froid aux yeux.
Après avoir passé un moment à me branler délicatement sous l’eau pendant que je lui suçait les seins, Sylvie me monte dessus. En tenant ma bite dans sa main, elle s’empale sur mon membre qui glisse sans difficulté dans sa grotte. Dans l’eau chaude bouillonnante, je m’agrippe aux hanches de cette grosse cochonne qui monte et descend frénétiquement sur moi. Mon visage est collé à ses deux grosses mamelles.
En face de nous, après s’être bien fait sucer par Cécile, Mathias prend sa partenaire sur le bord du bassin et la pénètre sans ménagement pour l’honorer comme elle le mérite.
Dans l’eau, Sylvie est déchaînée sur moi, mes mains pétrissent ses grosses fesses alors qu’elle va et vient sur ma queue, j’en profite pour lui bouffer les nichons. Elle se laisse aller et gémit de plus en plus fort «Oooohhh oooohhh oui, vas-y chéri baise moi fort oooohhhh»
Je la repousse pour ne pas jouir trop vite et m’assois sur le bord du jacuzzi pour reprendre mes esprits. Ma partenaire ne semble pas vouloir s’arrêter en si bon chemin et se jette sur ma queue pour me lécher d’abord délicatement avant de me prendre entre ses lèvres et m’offrir une des fellations les plus cochonnes que je n’avais jamais eu. Je serre les dents pour me retenir d’exploser autant que je le peux à la vue de ma queue aller et venir entre les lèvres de cette quadra cochonne digne d’une véritable assoiffée de sexe qui me pompe comme une vraie pro. Elle place ensuite ma queue entre ses seins et me branle énergiquement en faisant monter et descendre ses deux gros nichons sur ma queue qui a l’air écrasée tant ses nibards sont énormes. Vu l’agilité avec laquelle elle pratique ça, je me doute que cette grosse cochonne doit être une adepte de la branlette espagnole, et avec des nichons aussi gros elle a de quoi faire. Je sens que je ne vais pas arriver à me retenir bien longtemps, Sylvie le sent et dit «Mmmmh ça te plaît chéri ? Tu les aimes mes grosses doudounes hein ? »
«Ooohhh je vais... »
Elle comprend que je suis au point de non retour et sourit en accélérant sa branlette mammaire pour me faire craquer.
C’est trop pour moi, j’explose soudainement et lâche cinq ou six puissants jets de sperme en en mettant partout sur le visage , le cou et les seins et même les cheveux de Sylvie.
«Oh mon dieu, je n’avais jamais vu un mec éjaculer une telle quantité» dit-elle la poitrine et le visage recouverts de mon foutre.
De l’autre côté du jacuzzi, après avoir baisé Cécile en missionnaire puis en levrette, Mathias lui baise la bouche et ne tarde pas à jouir aussi maculant le visage de sa partenaire de sa semence. Cécile se lèche les lèvres comme pour récupérer le foutre de Mathias.
«Ah ah Ah vous avez sûrement compris qu’on est des sacrées coquines » dit Sylvie avant de rouler une pelle à son amie échangeant ainsi le sperme de Mathias, Cécile lèche aussi les seins de Sylvie qui dégoulinent encore de mon jus.
Cette soirée se déroule bien différemment de ce dont on l’avait imaginé et les choses sont loin d’être finies.
Après cette petite séance de batifolage dans le jacuzzi, Mathias et moi buvons un nouveau whisky pour reprendre des forces alors que ces dames se baignent dans le jacuzzi et semblent ne pas vouloir en rester là.
«Alors les jeunes ? On fatigue ? Il en faut plus que ça pour satisfaire des vicieuses comme nous » Entraînés par les ardeurs de nos partenaires, mon ami et moi les rejoignons dans l’eau. En nous suçant de nouveau comme des cochonnes, les filles sauront y faire pour que nous retrouvons rapidement de la vigueur pour remettre le couvert et honorer au mieux ces deux nymphomanes. Cécile a grimpé sur Mathias tandis que moi je lime la chatte de la grosse Sylvie qui couine comme une folle au bord du jacuzzi en la maintenant par les chevilles. Ma bite va et vient dans sa chatte imberbe et elle crie comme une dingue «Aaahhhhh aaaahhhhh ouiiiii vas-y chéri baise moi fort ouii aaaaahhhhh »
Je m’agrippe ensuite à ses hanches pour la culbuter dans une levrette endiablée. Ses nichons balancent au rythme de mes coups de reins. «Oooooohhhh ooooh ouiii comme ça baise moi comme une grosse chienne aaahhhhh »
Je me délecte du spectacle de ma queue enfouie dans sa grosse chatte baveuse, mes mains agrippées à son gros cul et son petit trou du cul qui semble fort accueillant également. Je glisse mon pouce à l’intérieur de son orifice anal et Sylvie émet un petit gémissement de plaisir. Elle ne semble pas me repousser alors que je fait tourner mon pouce dans son cul, je tente ma chance en collant mon gland à l’entrée de son fion. «Huuuummmm tu veux venir par là petit cochon ? »
« oh oui ma jolie j’ai très envie »
«Mmmmhhh viens chéri je suis prête, je veux sentir ta belle queue dans mon cul »
Je place mon gland contre l’œillet de ma partenaire qui se dilate progressivement sous la pression que j’exerce. Après m’y être repris à plusieurs fois, mon gland finit par entrer et se fait comme avaler par la rondelle de Sylvie. J’enfonce alors ma queue aussi profond que possible dans son cul accueillant. Elle laisse aller son déchaînement au fur et à mesure que je la sodomise « Aaaahhhhhh aaaaahhhhhh ouiiiiiii aahhhhhhh encule moi fort chéri ahhhhhhhh » Je monte au septième ciel agrippé à ses larges hanches pendant que mon membre va et vient dans son petit trou serré.
Sylvie se place ensuite en cowboy inversé sur moi, ma queue bien plantée au fond de son cul étroit et monte et descend sur mon membre. « aaaaaahhhhhh ouiiiii oohhhhh putain c’est bon tu m’encules bien ouiiiiiiii » Mathias nous a rejoint et frotte sa bite sur les gros seins de Sylvie qui dit «Hum ça te plait de frotter ta belle queue sur mes gros nichons hein petit vicieux » « Oh oui tu me fais bander avec tes grosses mamelles » Sylvie ne semble pas très réfractaire à la participation de mon ami et le motive encore plus en le branlant pendant que je l’encule. Elle se met ensuite à le sucer énergiquement avant de lui lécher les couilles plaçant même les deux boules de Mathias dans sa bouche. Il glisse ensuite sa queue entre les nichons de Sylvie pendant qu’elle est empalée sur ma bite. Il compresse les deux globes de chair autour de son membre et se branle comme un fou. Sylvie est au paroxysme de son excitation, elle va et vient de plus en plus vite sur moi et je ne peux me retenir d’exploser au fond de son trou du cul. Mathias ne résiste guère plus longtemps et jouit de nouveau en libérant une belle quantité de foutre entre les seins de notre grosse cochonne.
«Et bien mes salauds, vous ne manquez pas de ressources, j’aime ça »
Éreintés par nos ébats, nous nous reposons un moment dans le jacuzzi.
L‘infatigable appétit sexuel des filles ne tardera pas à nous rattr. Il faudra peu de temps à ces dames pour se montrer entreprenantes et manifester l’envie d’échanger leurs partenaires. Cécile se colle à moi dans le jacuzzi et Sylvie fait de même avec Mathias, après tout on est pas jaloux. Quelques caresses d’usage et nous reprenons du poil de la bête. J’emmène Cécile sur le lit pour fouiller sa belle chatte humide. Je ne résiste pas à entrer ma queue dans sa fente onctueuse déclenchant un « ooooohhhhh » de plaisir à ma nouvelle partenaire qui semble autant adorer le cul que son amie. Je la lime comme un dingue au rythme de ses cris, je me retire pour la faire venir sur moi. Elle plante ma queue au fond de sa grotte et va et vient pendant que je la maintiens par les hanches. La blonde pulpeuse est également une belle cochonne et fait tourner ses hanches sur moi pendant que ma bite est plantée au fond de sa chatte. A coté de nous, Mathias est en train de se faire copieusement sucer par Sylvie. Il la couche ensuite sur le lit pour profiter de sa chatte accueillante et semble se régaler autant que moi qui me fait chevaucher par Cécile. Je positionne ensuite cette dernière à quatre pattes pour la prendre en levrette, ce qui donnera des idées à Mathias qui se met du coup aussi à démonter Sylvie dans la même position. Nos deux cochonnes ne sont pas avares en éclats de voix. Cécile ne repousse pas ma queue lorsque je la place à l’entrée de son cul et je me mets ainsi à enculer la blonde comme j’ai enculée son amie. Nos deux quadra sont décidément de sacrées cochonnes. Sylvie grimpe ensuite sur Mathias pour se faire empaler au plus grand plaisir de mon ami. Je vois son gros fessier onduler sur Mathias qui écarte ses fesses, tout en la baisant il caresse son trou du cul d’un doigt et me regarde. A ce moment là, nous pensons sûrement à la même chose et je me libère de Cécile pour tenter d’assouvir une envie folle sans trop savoir comment Sylvie va réagir. Je place derrière Sylvie et colle mon gland contre son anus. Elle s’interrompt et dit «Ooohhhh qu’est ce que tu fais petit cochon ? Vous voulez vous y mettre à deux ? » d’un air faussement choqué, elle esquisse même un petit rictus révélateur. Cécile dit «Hum allez y les gars elle n’attend que ça cette grosse cochonne que vous la baisiez à deux »
« Allons Cécile, tu me fais passer pour la pire des salopes»
L’échange complice des deux amies laisse deviner qu’elles n’en sont sûrement pas à leur première partouze. Je glisse alors mon membre dans le cul étroit de Sylvie.
« Ooooooh doucement les gars, vous allez me déchirer »
Mathias sort légèrement sa bite de la chatte de Sylvie pour me laisser entrer totalement dans son cul puis la pénètre de nouveau, j’arrive à sentir la bite de mon ami à travers la mince cloison qui nous sépare. Une fois bien enfoncés dans les deux orifices, mon ami et moi commençons à la baiser sauvagement.
« Oooooohhhh oooooohhhhhh mon dieu ouiiiiiii ooooohhhhh baisez-moi ouiiiiii je sens vos deux bites en moi aaahhhhhhh »
La pression sur ma queue est encore plus forte du fait que Mathias soit dans sa chatte en même temps, Sylvie semble totalement perdre pied, ses deux trous remplis par nos queues, elle couine comme un animal. Cécile s’est munie de son téléphone portable pour prendre des photos de son amie prise en sandwich entre deux jeunes mecs en train de gémir comme une truie. L’album de vacances promet d’être chaud.
Mathias s’interrompt et dit «Tu devrais me rejoindre ici, il y a largement de la place pour deux » m’invitant à venir dans la chatte de Sylvie. Celle-ci ne proteste pas alors que je colle ma bite à celle de mon pote et rentre sans difficulté dans sa large chatte trempée. Cécile qui assiste stupéfaite à la scène de son amie en train de se faire prendre en double vaginal par deux jeunes gars dit « Tu es vraiment une grosse vicieuse» et continue de photographier la scène pour le moins torride.
« Huummmm sois pas jalouse chérie, ça sera ton tour après, n’est ce pas mes chéris ? »
Mathias sort brusquement et se redresse, il va jouir. Je me relève également et nous nous positionnons debout sur le lit de chaque coté de Sylvie.
Cécile dit «C’est ça les gars, videz-vous les couilles sur la gueule de cette cochonne, elle n’attend que ça »
Sylvie renchérit « Hum allez y mes chéris, aspergez moi de votre foutre »
Mathias ne se fait pas prier et éjacule le premier en arrosant le visage de Sylvie de son jus épais qui échoue sur son front ses lèvres et dans sa bouche. Je jouis ensuite et lâche encore plusieurs jets sur ses seins. La quadra est recouverte de notre sperme et ressemble à une actrice porno dans une scène de bukkake. « Oh mon dieu mais vous êtes infatigables, vos couilles sont de vraies usines à sperme » Cécile la mitraille de photos et pose son téléphone pour venir lécher le sperme qui dégouline des seins et du visage de son amie.
Après ces joyeusetés, nous nous offrons un moment de répit dans le jacuzzi, l’occasion pour chacun de souffler et pour Sylvie de reposer ses orifices endoloris. Cette nuit de débauche n’était pourtant pas terminée, Cécile se lève et dit «Allez assez pioncé les gars, vous allez me faire la même chose que ce que vous avez fait à cette grosse truie» La blonde pulpeuse sut se montrer convaincante en prenant nos bites dans chacune des ses mains pour nous branler et nous sucer chacun son tour. Mathias dit «tu as une grande bouche ma chérie, je suis sur que tu pourrais prendre nos deux bites en même temps » Cécile, amusée par le challenge proposé ne se défile pas et ouvre grand la mâchoire. Mathias et moi arrivons à rentrer une partie de nos queues dans sa bouche grande ouverte provoquant l’hilarité de Sylvie « ahahah tu dis de moi mais tu fais une sacrée avaleuse de queue comme ça »
Fini l’amusement, place aux choses sérieuses, Mathias s’allonge sur le lit et Cécile vient en cowboy inversé sur lui, il l’encule brusquement. Les cuisses largement écartées face à moi et le cul rempli par la bite de mon ami, elle écarte sa chatte avec ses doigts et m’invite à l’honorer. J’enfonce donc ma queue dans sa chatte et la besogne avec ardeur. Elle prend un pied phénoménal à se faire baiser en double sous l’oeil de Sylvie qui immortalise la scène en photo.
« Oooooh oooohhh ohhhhh ouiiiiii allez-y baisez moi ouiiiiii c’est bon »
S’en suivit une séance de double vaginal puis Cécile se fit enculer successivement par mon ami et moi jusqu’à ce qu’on se vide conjointement dans son anus dilaté. « Ooooohhhhh oui mes salauds, giclez votre jus dans mon cul » Après qu’on ait juté dans son anus, celui-ci resta dilaté un bon moment, rempli de notre semence, le tout immortalisé par les photos prises par Sylvie.
Il fallut ensuite mettre un terme à cette soirée de plaisir et Mathias et moi avons regagné notre hôtel après non moins de quatre éjaculations. Les vacances prirent fin et nous avons du reprendre le quotidien. Je garde encore en mémoire cette soirée au cap et ces deux insatiables cochonnes.

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